Cuma Mayıs 3, 2024

Mille salutations a ceux

 

QUI ONT PRÉCONISÉS UNE VIE LIMITÉE POUR LA LUTTE !

"Rien ne s’obtient sans effort et sacrifice"

La lutte des classes continue sans cesse à travers le globe.

 

Toutes sortes d'actes inhumains sont commis aux quatre coins de la Terre par les Impérialistes et l'ensemble de leurs valets, et ceci par plus d'exploitations, plus d'excès et encore plus de pillages avides. Chaque jour qui passe devient ainsi de plus en plus invivable pour le prolétariat et les ouvriers opprimés, ces derniers résistant avec toutes sortes de moyens. D'un côté un pouvoir qui se croit tout permis et qui défend cette politique d'exploitation et d'excès, et de l'autre, ceux qui luttent pour mener une vie décente. D’une part de la faim, de la pauvreté, des guerres injustes qui touchent les travailleurs, les ouvriers, les pauvres, les femmes et les enfants et d’autre part, ceux qui mènent une vie paisible en vidant les gens de vie et de sang.

C'est une bataille cruelle et sans pitié. Soit ce système impitoyable d'exploitation et d’oppression barbare continuera ainsi, soit les seigneurs de l'ombre seront vaincus en unissant les victimes du système et leurs meneurs, en payant au prix de leurs vies et de leur sang.

Payer le prix et faire payer le prix est la condition de cette lutte farouche et interminable. L'histoire de la lutte des classes témoigne de cette vérité inévitable, comme le confirme la citation du Camarade Mao Zedong : «  Qui dit lutte dit sacrifice, et la mort est chose fréquente. Comme nous avons à cœur l’intérêt du peuple, les souffrances de la grande majorité du peuple, mourir pour lui, c'est donner à notre mort, toute sa signification. »

Sans une compréhension profonde de cette réalité en elle-même, sans l'armement de la classe ouvrière, il est impossible aux meneurs de la conduire et la guider dans ce combat. L'histoire de la classe ouvrière à maintes fois démontré cette vérité. C’est la conquête du pouvoir par la lutte armée. Si nous invoquons les impérialistes et les toutes sortes de réactionnaires, ennemis de la classe ouvrière, c'est parce qu'il faut savoir que les détenteurs du pouvoir ne lâcheront pas aussi facilement le pouvoir. Penser le contraire serait en réalité tromper les opprimés, leur donner de faux espoirs et continuer à servir ce système.

Nous ne sommes pas de ceux-là, et nous ne le serons jamais. Tout comme les maîtres du prolétariat international et les innombrables leaders et meneurs, qui ont mis leurs vies en danger sans aucune hésitation afin de créer un peuple socialiste démocratique et un communisme suprême, nous repeindrons le drapeau rouge avec notre sang avec honneur et dignité en défendant notre cause.

En aucun cas notre acceptation de la mort ne sert et ne servira jamais à faire de la politique sur les morts, mais seulement à nous former et à guider les opprimés en interprétant correctement les lois accablantes de l'histoire de la lutte des classes. L'histoire de notre parti en est la démonstration.

Depuis la création de notre parti, le Parti Communiste de Turquie Marxiste-Léniniste (TKP / ML) jusqu'à aujourd'hui, nous n'avons cessé de sacrifier sans hésiter, dans cette lutte, nombre de nos plus précieux cadres et militants. En raison de la nécessité de la lutte des classes dans notre pays, le TKP / ML, subsistant lui-même comme parti de guerre, a jusqu'à aujourd'hui, vaillamment dédié à cette cause respectable, tout d’abord son fondateur, notre leader Ibrahim KAYPAKKAYA, ses quatre secrétaires généraux ainsi que des centaines de précieux cadres et militants.

Nos martyrs ont offert leurs vies à la révolution avec la plus grande audace et fidélité absolue. Ils ont ainsi renforcé nos consciences contre nos ennemis dans cette lutte pour un avenir de liberté, amélioré cette lutte révolutionnaire en devenant immortels et nous ont transmis le drapeau suprême communiste. Eux, sans lesquels nous ne serions pas là, qui nous ont inspirés et conduits jusqu’à aujourd’hui, sont les modèles de la dialectique de la ligne politique et de la théorie de notre révolution. Comme disait le leader communiste de notre parti, le Parti Communiste de Turquie Marxiste-Léniniste (TKP/ML), celui des ouvriers opprimés et du prolétariat de Turquie, Ibrahim KAYPPAKAYA :

« Il y aura toujurs des hommes prét a se sacrifier pour la révolution….. »

En 1978, lors de la 1ère Conférence du Parti Prolétaire, il avait été décidé de ne pas commémorer un à un chacun de nos martyrs, mais de proclamer la dernière semaine de janvier «La semaine du Parti et de ses Martyrs ».

Le mois de janvier devient ainsi le symbole de la bataille et de la résistance, de la douleur et de la colère, de la persistance et de la continuité de cette lutte entreprise, qu’on ne peut pas arrêter le cours d’une révolution démocratique du peuple et la voie socialiste, mois où l’on retrouve l'histoire dans son mouvement en avant.

Le mois de Janvier a été différencié des autres mois et sa dernière semaine proclamée Semaine du Parti et de ses Martyrs, en commémoration à ses nombreux et précieux communistes et révolutionnaires, engagés dans la lutte pour le développement du communisme et de la révolution prolétarienne. Mois de la mort du Camarade Lénine, Maître et théoricien de la science Prolétaire, l’unique leader et architecte de la Révolution d'Octobre. Où nous avons perdu les leaders du Prolétariat Allemand, Rosa Luxembourg et Karl Liebknecht. Du massacre du leader du TKP Mustafa Suphi et de ses 14 camarades par la dictature fasciste kémaliste. Mois de janvier où nous avons perdu Meral Yakar et Ali Haydar Yildiz.

Pour nous, le parti du prolétariat n'est pas le seul concerné, tous les martyrs de la révolution socialiste sont d'une grande importance et nous adoptons les valeurs crées par eux tous. C'est pourquoi de Deniz à Mahir, de Sabahat Karataş à Dursun Karataş, de Hatice Yurekli à Habib Gür, de Osman Yaşar Yoldaşcan à Mehmet Fatih Öktülmüş, de Hasan Ocak à Süleyman Yeter, de Mazlum Doğan à Mahzun Korkmaz, de Erdal Eren à Bedri Yagan, les martyrs du soulèvement du Gezi Parc à Taksim ainsi que les innombrables martyrs révolutionnaires et socialistes, ils tous sont nos martyrs.

Commémorer le parti et ses martyrs à une signification particulière dans la lutte des classes. Nos martyrs sont ceux qui mènent cette lutte, qui illuminent ce chemin en combattant au péril de leurs vies jusqu’à leur dernier souffle, servant ainsi d’exemple aux survivants. Les attaques ennemies sont endiguées par ces murs impénétrables qui ont été érigés au fil du temps de leurs vies et ce jusqu’à leur dernier souffle.

Semaine des martyrs, des chefs et guerriers du prolétariat international, morts dans le combat dans le seul but ultime d’amener l’humanité dans cette lutte communiste, ainsi que les cadres dirigeants communistes et adhérents de notre parti, le Parti Communiste de Turquie Marxiste-Léniniste (TKP/ML), de notre armée, l’ Armée ouvrière et paysanne de libération de Turquie (TIKKO), de la lutte de ses héros de guerre et militants de notre organisation de jeunesse, l’ Union de la jeunesse Marxiste-Léniniste de Turquie (TMLGB), par lesquels nous devrions apprendre à exploiter cette lutte.

Ne soyons pas seulement des révolutionnaires d’une époque facile mais soyons également les révolutionnaires d’une époque difficile. Comme le disait le Camarade Mao : « la Révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme ; La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. C’est pourquoi nous devons apprendre davantage à ce sujet sur nos martyrs. Eux, ils ont su rester la tête droite dans les périodes d’attaques contre-révolutionnaires, malgré les thèses d’intimidations et pessimiste, période où la découverte de nouveaux mondes faisait fureur ; ils ont su rester attachés aux fondements des théories et des idéologies Marxistes-Léninistes Maoïstes (MLM) de notre leader Ibrahim KAYPAKKAYA. C’est eux, qui pendant cette période de 41 ans, avec toutes ses attaques intérieurs et extérieurs visant la destruction et l’élimination, sont parvenus à rester fidèles aux fondements du MLM.

Il est essentiel de relier toutes les activités accomplies pour la semaine du Parti et de ses Martyrs, à la conjoncture actuelle, nationale et internationale, en intégrant et orientant selon les tactiques et les stratégies du parti prolétaire. Chaque activité politique et pratique que nous organisons, doit servir à l’avancée de notre parti.

Chaque jour la terre de notre pays est arrosée avec le sang des travailleurs et des ouvriers. Le soulèvement du Taksim Gezi Parki et pour lequel notre parti TKP / ML a entrepris une campagne ayant comme slogan « La Révolution dans notre Pays est Fondamentale, Taksim en est le signe », nous a démontré que la lutte des classes dans notre pays en faveur du front révolutionnaire a évolué, et cela malgré les milliers de blessés et de martyrs, issus de toutes les classes populaires, qui se sont emparés des rues avec de la colère et de la détermination , face aux attaques barbares de la dictature fasciste. Cela démontre que malgré toute leur propagande désespérée et calomnieuse en ce qui concerne la lutte révolutionnaire, toutes les conditions sont réunies pour une lutte à tout prix. Cette période nous a prouvé que le sang versé et le prix payé ne l’ont pas été en vain. Ceux qui se sont exposés et revendiqués meneurs dans cette lutte pour la classe ouvrière en seront un exemple concret.

Tout ceci à condition que nous mobilisions notre énergie pour diriger cette lutte selon les tactiques et les stratégies de notre parti TKP / ML pour ériger le drapeau rouge encore plus haut, le hisser sans faille sur ce chemin vers une démocratie indépendante populaire et socialiste.

Que nous ajoutions cette tâche laissée par nos martyrs à la nôtre avec plus de responsabilité, d’énergie, de dévouement et d’altruisme.

Que même dans les derniers moments, nous revendiquions et adhérions aux appels de nos camarades pour « Renforcer le Parti ».

GLOIRE AUX MARTYRS DE LA REVOLUTION, DU SOCIALISME ET DU COMMUNISME SUPPREME !

GLOIRE AUX MARTYRS DE LA GUERRE POPULAIRE MORTS LES ARMES A LA MAIN !

LES MARTYRS DU PARTI ET DE LA REVOLUTION SONT IMMORTELS !

VIVE NOTRE PARTI TKP/ML, L’ARMEE DU PEUPLE TIKKO ET L’UNION DE LA JEUNESSE (TMLGB) !

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NEDEN KAYPAKKAYA

“Kemalist diktatörlük, Türk şovenizmini körüklemeye girişti! Tarihi yeni baştan kaleme alarak, bütün milletlerin Türk’lerden türediği şeklinde ırkçı ve faşist teoriyi piyasaya sürdü. Diğer azınlık milliyetlerin tarihini, kitaplardan tamamen sildi. Bütün dillerin Türkçeden doğduğu şeklindeki “Güneş Dil Teorisi” safsatasını yaydı. “Bir Türk dünyaya bedeldir!”, “Ne mutlu Türk’üm diyene!” cinsinden şovenist sloganları ülkenin her köşesine, okullara, dairelere, her yere yaydı.

KÜRTLER TARIH YAZIYOR!

 

KÜRTLER TARİH YAZIYOR!

Kürdistan halkı kendi tarihini kendisi yazıyor.

Kürdistan Ulusal Özgürlükçü Hareketi, kendi öz gücüyle T.C. devletine her alanda darbe vurarak ilerlemeye devam ediyor. Kürdistan Özgürlükçü Hareketi Artık gerilla savaşı dönemini aşmış, stratejik denge savaş sürecini yakalamıştır.

Türkiye Devrimci Hareketi tarafından Batı’da ikinci bir cephe açılamadığından dolayı Kürt Özgürlük Hareketi stratejik denge aşamasına ağır bedeller ödeyerek mücadelesini sürdürmektedir.

NEWROZ ATEŞİ!

 

Zalimin zulmüne başkaldırının günüdür Newroz. Ortadoğu halklarının zafer ve özgürlük ateşini yaktıkları gün. Modern Dehak’lara karşı mücadelenin boyutlandığı, halkların emperyalizme ve işbirlikçilerine karşı savaşlarınıyükselttikleri gün.

İntifalara, serhıldanlara esin kaynağı olan Newroz ateşi binlerce yıl önce yakıldı. Zalim Dehak’ın sarayından yükselen Newroz ateşi, o günden bu yana her 21 Mart’ta daha da bir gür yanıyor.

"EYLÜL KOKUSU" VE ADIL OKAY

 

Kaç Kişi Kaldık?" sorusu ile postmodernizmden malûl "yenik ruh hâline", "Hayır" diyen Adil Okay, yaşadığı tarihin umutlarını bizimle paylaşırken, Can Baba'nın yolunda, İbni Haldun'un uyarısını unutmamacasına ilerliyor...

Okay'ın "uzun yürüyüşü"nde "düş kırıklıkları", "yenilgi", "aşk", "sürgün" ve "yitirilenler"; ya da başkaldıran insana ait her şey var! Ama yılgınlık, vazgeçiş, tövbe yok... İnsan(lık)tan umudunu kesememiş Okay; bunun için de heybesinde dizeleri ile hâlâ yollarda...

AYDIN(LAR) VE AYDINIMSI(LAR)[*]

 

“Alev, başka şeyleri aydınlattığı

kadar aydınlatmaz kendini.”[1]

Dört yanın “aydınımsı(lar)” diye ifade edilebilecek bir yabancılaşma/ deformasyon tarafından kuşatıldığı kesitte, Demba Moussa Dembélé’nin, ‘Samir Amin: Ezilen Hakların Sömürülen Sınıfların Organik Aydınları’[2] başlıklı yapıtı, “dünya aydın bakışı”nın yanıtı gibidir sanki…

KAYPAKKAYA'YI ANLAMAK

 

ŞOVEN GERİCİLİK DALGASINA KARŞI KAYPAKKAYA'YI ANLAMAK VE ANLATMAK[1]

"Çocukluk saflığını kaybetmeyen

insana büyük insan denir."[2]

 

I) İbrahim Kaypakkaya'dan söz etmek; Onu anlamak ve anlatmak kolay bir şey değil; hatta çok zor; öncelikle bunun altını çizerek başlayayım konuşmama...

Önce bir soru: İbrahim Kaypakkaya öldü mü? İçinizde buna "Evet" diyen var mı? Olduğunu zannetmiyorum; ama varsa ne yazık...

“YÜZYILLIK YALNIZLIK”I YIKAN GERILLALAR: FARC-EP -3

 

Kolombiya’da Gerilla Örgütleri: ELN,  ELP ve M-19

“YÜZYILLIK YALNIZLIK”I YIKAN GERILLALAR: FARC-EP -2

 

“YÜZYILLIK YALNIZLIK”I YIKAN GERILLALAR: FARC-EP* -1

 

“Ya bedel ödeyerek özgürlüğü fethedeceksin,ya da onsuz yaşamaya razı olacaksın” Jose Marti

SINIF KONUŞMAZSA MEYDAN ÇAPULCULARA KALIR

 

HAVUÇ AYDINLAR (MAYALARIN ANISINA)

 

Burjuvazi, kendi sistemini “ilerici” ve insanlığın sahip olabileceği “en iyi toplumsal sistem” olarak tanıtmaya devam ediyor ve bu sistemi savunanları, bu sistemin sürdürülmesinin teorisini yapanları da toplumun karşısına “aydın” olarak çıkarıyor. Elindeki devletin baskı gücünü ve üretim araçlarına sahip olmanın getirdiği tüm avantajları kullanarak;  burjuva ideolojik manipüle araçlarını her saniye, her saat topluma empoze ediyor.

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